Franc-Maçonnerie et sociétés secrètes contre Napoléon L'émergence de la nation allemande

décembre 2005
ISBN : 9782847361193
465 pages

26,40

Cet ouvrage nous fait découvrir les actions souterraines de nombreuses sociétés secrètes, fondées à partir de la Franc-Maçonnerie prussienne. Actions qui devaient embraser toute l’Allemagne, la soulever contre l’Ogre de Corse et hâter la fin de l’Empire.

Description

Dès 622 États que comptait l’Allemagne en 1803, seule la Prusse pouvait espérer jouer un rôle. Mais le 14 octobre 1806, les victoires françaises d’Iéna et d’Auerstedt devaient révéler la sclérose, voire l’état de décomposition du pays dirigé par Frédéric-Guillaume III, monarque conservateur et indécis. Sept ans plus tard, la Prusse prenait une part éclatante dans la bataille de Nations à Leipzig.

Que s’était-il passé entre-temps ? Simplement l’éveil d’une nation galvanisée par sa religion luthérienne, facteur de cohésion, par une langue qualifiée d’essence divine, facteur d’unité et,  ironie, par les idées de la Révolution française.

Comment réussir cette transformation si rapide avec un pouvoir aussi absolu et rétrograde, dans un pays ou toute évolution était interdite ? C’est l’objet de cet ouvrage qui nous fait découvrir, pas à pas, les actions souterraines de nombreuses sociétés secrètes, fondées à partir de la Franc-Maçonnerie prussienne, comme en témoigne la Ligue de la vertu, mais aussi la Ligue allemande et la Société anarchique de Berlin qui existe encore de nos jours.

En six années, ces sociétés secrètes appuyées par les loges militaires maçonniques devaient transformer le pays. Lorsqu’elles sentirent que la Prusse à nouveau frémissante et exaltée était prête, ces sociétés devaient la précipiter dans la guerre, contre la volonté du roi, au moyen d’une désertion spectaculaire de ses troupes qui lâchèrent au moment opportun les débris de la Grande Armée au retour de Russie. Le soulèvement de la Prusse devait alors embraser toute l’Allemagne, la soulever contre l’Ogre de Corse et hâter la fin de l’Empire.

Du plus illustre au plus humble, tous les membres de ces sociétés qui furent les fondateurs de l’Allemagne moderne se trouvent rappelés ici. Ils ont suscité l’éveil de l’âme allemande de Königsberg à Cologne et celui d’un nationalisme dont le modèle peut, à première vue, surprendre les Français puisqu’il ne s’agit pas moins que de Jeanne d’Arc !

Des 622 États que comptait l’Allemagne en 1803, seule la Prusse pouvait espérer jouer un rôle. Mais le 14 octobre 1806, les victoires françaises d’Iéna et d’Auerstedt devaient révéler la sclérose, voire l’état de décomposition du pays dirigé par Frédéric-Guillaume III, monarque conservateur et indécis. Sept ans plus tard, la Prusse prenait une part éclatante dans la bataille de Nations à Leipzig.

Que s’était-il passé entre-temps ? Simplement l’éveil d’une nation galvanisée par sa religion luthérienne, facteur de cohésion, par une langue qualifiée d’essence divine, facteur d’unité et,  ironie, par les idées de la Révolution française.

Comment réussir cette transformation si rapide avec un pouvoir aussi absolu et rétrograde, dans un pays ou toute évolution était interdite ? C’est l’objet de cet ouvrage qui nous fait découvrir, pas à pas, les actions souterraines de nombreuses sociétés secrètes, fondées à partir de la Franc-Maçonnerie prussienne, comme en témoigne la Ligue de la vertu, mais aussi la Ligue allemande et la Société anarchique de Berlin qui existe encore de nos jours.

En six années, ces sociétés secrètes appuyées par les loges militaires maçonniques devaient transformer le pays. Lorsqu’elles sentirent que la Prusse à nouveau frémissante et exaltée était prête, ces sociétés devaient la précipiter dans la guerre, contre la volonté du roi, au moyen d’une désertion spectaculaire de ses troupes qui lâchèrent au moment opportun les débris de la Grande Armée au retour de Russie. Le soulèvement de la Prusse devait alors embraser toute l’Allemagne, la soulever contre l’Ogre de Corse et hâter la fin de l’Empire.

Du plus illustre au plus humble, tous les membres de ces sociétés qui furent les fondateurs de l’Allemagne moderne se trouvent rappelés ici. Ils ont suscité l’éveil de l’âme allemande de Königsberg à Cologne et celui d’un nationalisme dont le modèle peut, à première vue, surprendre les Français puisqu’il ne s’agit pas moins que de Jeanne d’Arc !