Sang-froid n° 4 Justice Investigation Polar

décembre 2016
ISBN : 9782369424581

15,00

À retrouver dans le quatrième numéro de la revue Sang-froid :
Révélation : L’attentat caché, 18 juin 1961, le déraillement du train Strasbourg-Paris
Dossier : La nouvelle vie des détectives
Andrés Sepúlveda, l’homme qui hackait les élections
Enquête : Les ratés de l’enquête Érignac
Polar : nouvelle inédite de Marcus Malte.

Description

À retrouver notamment dans le 4e numéro de la revue Sang-froid :

► Révélation : L’attentat caché. Le 18 juin 1961, le train Strasbourg-Paris déraille faisant 28 morts et 170 blessés. Certains policiers estiment qu’il s’agit d’un attentat à la bombe fomenté par l’OAS même s’il ne sera jamais revendiqué. Sang-froid révèle des documents et des témoignages inédits qui valident cette thèse.

► Dossier : Qui sont les nouveaux détectives privés ? On croit les connaître en les côtoyant très souvent sur grand écran et dans les livres, pourtant, les détectives privés sont bien éloignés de l’image qui leur colle à la peau. Brigade des cocus, gros bras, écoutes illicites, armes… On croit les connaître en les côtoyant très souvent sur grand écran et dans les livres. Pourtant, les détectives privés sont bien éloignés de l’image qui leur colle à la peau. De plus en plus encadrée, cette profession en pleine mutation pourrait même devenir un appui pour les forces de l’ordre dans un futur proche. Mais pour que leurs prérogatives ne se limitent plus à la seule possibilité de faire des filatures, certaines pratiques doivent cesser. Dans le viseur notamment, la porosité de la transmission d’informations entre fonctionnaires des forces de l’ordre toujours en place et anciens de ces services. 

Andrés Sepúlveda a hacké de nombreuses élections en Amérique latine pour le compte de politiques. Aujourd’hui incarcéré, il livre son histoire.

► Enquête : Les ratés de l’enquête Érignac.

► Enfin, la section polar accueille à nouveau des invités de prestige, avec une nouvelle inédite de Marcus Malte (prix Femina 2016), une interview de Peter May et un portrait de Victor del Arbol.