La course à la bombe Et si Hitler avait eu l'arme atomique ?

octobre 2008
ISBN : 9782847363685
190 pages

19,30

Un des plus formidables feuilletons de la Seconde Guerre mondiale, celui de la bataille pour empêcher l’Allemagne de concevoir la bombe atomique.

Description

Voici un des plus formidables feuilletons de la Seconde Guerre mondiale. En février 1940, Joliot-Curie et Kowarski sont prêts pour une expérience décisive. La France détient alors un stock d’uranium obtenu dès 1939 par Joliot, mais elle ne possède que quelques grammes d’eau lourde, (oxyde de deutérium), indispensable en grande quantité pour jouer le rôle de « ralentisseur » dans l’expérience que les deux savants ont imaginée. La Société norvégienne d’azote a réussi à fabriquer 185 kg de ce précieux liquide, qui constitue l’unique stock mondial.

À la veille de l’invasion de la Norvège par les Nazis, dont le but principal est de s’emparer de ce stock, le 2e Bureau français reçoit la délicate mission de prendre les Allemands de vitesse et de rapatrier le stock mondial d’eau lourde. Trois agents réussissent la mission périlleuse de déjouer la surveillance des services de renseignement allemands déjà sur place, et de rapatrier ce stock, qui sera ensuite transféré en Angleterre.
En février 1942, les alliés apprennent que les Allemands essayent de mettre au point une bombe atomique. Pour réaliser ce projet, il est indispensable de disposer d’oxyde de deutérium, plus connu sous le nom d’eau lourde. Il s’avère justement que les Allemands en ont repris la production en Norvège.
Une nouvelle opération est montée par les Britanniques pour faire détruire l’usine par un commando : c’est un échec. En février 1943, une équipe de parachutistes infiltrés parvient à détruire en partie l’usine. La production reprend en fin d’année. En février 1944, les Allemands décident de transférer par mer le stock d’eau lourde en Allemagne. Deux agents restés sur place font sauter le bateau. Les recherches de l’Allemagne pour concevoir la bombe atomique sont définitivement endiguées.